Tokyo City | Concept

Tokyo, capitale du Japon et ville la plus peuplée au monde.

Qui n’a jamais entendu parler de cet événement qui eut lieu à Tokyo un beau jour de Juin 2008. Un drame atroce survint à l’aéroport de Narita ce jour-là, situé à la sortie de la ville tokyoïte. Un avion en provenance des régions occidentales s’apprêtait à se poser sur la piste d’atterrissage lorsque son moteur prit feu. Affolé par ce qui venait d’arriver, le pilote perdit le contrôle de son appareil qui sortit de la piste goudronnée. A l’intérieur, les hôtesses de l’air tentaient tant bien que mal d’apaiser les peurs des passagers qui ignoraient ce qu'il se passait exactement. Les passagers étaient pour la plupart des étrangers venant d’Europe et des USA, rares étaient ceux qui étaient japonais. Entre peur, stress, angoisse et appréhension de la mort, les occupants ne purent réaliser que l’avion s'était écrasé. Ceci c'était passé en une fraction de seconde.
Quand aux spectateurs de la scène, ils étaient tous, pour la plupart, des journalistes et des photographes souhaitant faire la une de leur journal pour le lendemain. Avertis par les dirigeants de l’aéroport, les autorités et urgences tokyoïtes arrivèrent sur les lieux pour tenter d’éteindre les flammes gisantes de l’avion et ainsi sauver les passagers qui étaient engouffrés dans l’immense véhicule. Les pompiers Nippons se sentaient faibles face aux immnses flammes, dont la taille ne cessait d'augmenter. Quant aux autorités Nippones, elles sortirent d’urgence les personnes blessées encore vivantes qui étaient nombreuses et les conduisirent à l’intérieur de l’aéroport pour soigner les plaies superficielles. Une dizaine de personnes décédèrent dans l’accident, dont le pilote qui avait perdu le contrôle de l’avion.
Les recherches des personnes encore vivantes dans l’avion avaient durés plus d’une journée mais les personnes récupérées plusieurs heures après l’accident étaient grièvement blessés et durent être emmenées d’urgence à l’hôpital Takano.
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Plusieurs semaines après, les esprits étaient encore marqués et le lieu de l’accident était encore signe de recueillement pour les familles des blessés et des personnes décédées. Après de nombreuses recherches effectuées par les pompiers et envoyées en laboratoire, il n'y eut plus aucun doute sur la provenance de l'accident. Un passager frauduleux avait embarqué dans ses valises plusieurs kilos d'une substance chimique, appelée MIC24. En raison de la forte différence de pression de l'air entre la vitesse de croisière de l'avion et le sol, la composition de la substance instable s'est légèrement modifiée, provoquant de la fumée, puis des flammes qui on rapidement pris de l'ampleur.


La ville de Tokyo reprit peu à peu de l’activité en accueillant comme il se doit les passagers de l’avion qui décidèrent de rester dans la capitale Nippone pour reconstruire une nouvelle vie et prendre un nouveau départ. La capitale se diversifia et se divisa en deux catégories sociales : les tokyoïtes et les rescapés.
Les Tokyoïtes n'ont pour la plupart pas connu ce drame et l’ont suivi derrière leur écran de télévision. Certains sont parfois réticents face aux nombreux occidentaux qui immigrent chez eux, mais la plupart prenne la chose comme une façon de se diversifier, d'apporter des idées nouvelles.
Quant aux rescapés, qui sont des étrangers pour les Japonais qui les appellent Gaijin, ils ont tous connu ce drame et sont très marqué par celui-ci. Ils ont décidé de rester vivre au Japon mais ils ne connaissent nullement la culture Nippone et l’apprendront alors sur les lieux.